Conflits géopolitiques, changement climatique, intelligence artificielle... Il n'est pas exagéré de dire que l'avenir ne sera pas sans risque pour les entreprises. Afin de relever les défis auxquels elles seront confrontées dans les années à venir, les organisations auront besoin de partenaires qui les soutiendront dans un environnement en constante évolution. 

Liberty Specialty Markets (LSM) se propose d'être le partenaire de confiance des entreprises européennes. 

En s’appuyant sur une équipe de spécialistes de haut niveau, sur sa solidité financière et sa présence internationale, LSM propose des solutions adaptées aux attentes du marché grâce à une gestion efficace des risques et à un accès à une large gamme de couvertures d'assurance.

En d'autres termes, sa mission sur le marché européen est de contribuer au développement d'entreprises « parées pour l'avenir »

Cela, tout en restant au contact de la réalité. L'avenir est fait d’aléas mais aussi de perspectives de croissance pour les entreprises. Le plus important est de savoir accueillir ces opportunités sans tomber dans les écueils qu’elles peuvent parfois dissimuler. 

Comment faire ? LSM est claire : la première étape, et peut-être la plus importante, consiste à écouter les clients. 

« Notre philosophie est de dialoguer avec nos clients pour comprendre leurs besoins et développer de nouveaux produits ou de nouvelles façons d'accéder au marché », déclare Alfonso Garcia Larriu, Directeur Général de LSM en Espagne. « En tant qu'assureur spécialisé, nous voulons présenter des solutions fondées sur un dialogue avec les entreprises et sur l’expertise de notre équipe de spécialistes ».

Il ne s'agit pas de vouloir innover à tout prix, mais de s'adapter aux besoins des entreprises européennes. S'il y a 30 ans, les entreprises voulaient être aussi fiables qu'une voiture allemande, elles doivent aujourd'hui être aussi agiles qu'une voiture de Formule 1 et aussi résistantes qu'un porte-avion. Mais seul l'avenir nous dira à quoi elles devront ressembler, même dans même 30 mois, compte tenu de tous les changements induits, par exemple, par l'intelligence artificielle et les nouvelles technologies. 

La gestion des sinistres

La réalité est que le changement est constant et incessant. LSM est consciente du fait que les attentes des gestionnaires de risques et des assurés évoluent à mesure que l'environnement commercial évolue. Prenons l'exemple de la gestion des sinistres. 

En mai, LSM s'est associée à AIRMIC, l'Association of Insurance and Risk Managers in Industry and Commerce du Royaume Uni, pour réaliser une enquête sur les attentes réelles des entreprises en matière de gestion des sinistres. Les résultats ont été très révélateurs, ne serait-ce que parce qu'ils ont indiqué que le coût n'est pas la question la plus importante pour les clients.

Ce que les gestionnaires de risques veulent, c'est que les équipes chargées des sinistres participent plus activement à l'ensemble du cycle de vie d'une police d'assurance, de la souscription au renouvellement. Ils veulent des services de haute qualité et une bonne communication avec les équipes chargées des sinistres, car les données sur les pertes encourues par l'entreprise peuvent aider à affiner les couvertures et à renforcer la prévention des risques.

De plus, si les gestionnaires de risques se félicitent de l'utilisation de l'intelligence artificielle dans la gestion des sinistres, ils ne sont pas encore en mesure de contester une décision prise à l'aide de cette technologie qui leur procurerait un sentiment d'insécurité. Ils devront donc collaborer avec leurs partenaires qui auront pour mission de les aider à appréhender une gestion des sinistres qui utiliserait l'intelligence artificielle.

« La gestion des sinistres jouera un rôle de plus en plus important dans le processus de souscription des risques et la barre sera placée de plus en plus haut », déclare Kadidja Sinz, Présidente de Liberty International Insurance Europe. « L'enquête montre que les gestionnaires de risques accordent de plus en plus d'importance aux services de gestion des sinistres, aux autres activités à valeur ajoutée et aux relations avec les assureurs ». 

Transition énergétique et autres défis

Ce qui est vrai pour la gestion des sinistres l'est aussi pour les défis majeurs auxquels sont confrontées les entreprises dans le monde actuel. 

La transition énergétique et le changement climatique en sont un bon exemple. Les entreprises savent que le passage à une économie plus durable est inévitable. Cela est particulièrement vrai en Europe, où des changements réglementaires majeurs sont mis en œuvre pour accélérer le processus de transformation des entreprises.

Mais vos partenaires du marché de l'assurance le savent-ils aussi ? De nombreux gestionnaires de risques répondent par la négative. Ils se plaignent souvent du fait que les assureurs se contentent d'évoquer les dimensions ESG dans leurs rapports annuels, leurs politiques d'investissement et lors de conférences. Mais, ils ne semblent pas très disposés à récompenser les efforts de leurs clients en matière de développement durable lors de la souscription de leurs polices d'assurance.

LSM s'efforce de faire du développement durable une priorité dans le processus de souscription. À cette fin, LSM développe, entre autres, de nouveaux services tels qu'un outil de prévision, en collaboration avec Previsico, qui aide les entreprises à prévoir et à atténuer les risques d'inondation dans leurs installations, augmentant ainsi leur résilience face aux catastrophes naturelles. 

La compagnie est également un leader mondial dans le domaine du cautionnement, qui peut souvent être une condition préalable à la réalisation d'un projet d'énergie renouvelable sur les marchés européens.

« Nous soutenons déjà les entreprises dans leur processus de transition. Par exemple, lorsqu'elles investissent dans des technologies d'énergie renouvelable ou dans de nouvelles sources d'énergies qui, souvent, ne sont pas entièrement développées », explique Kadidja Sinz. « En outre, nous maintenons avec nos clients le dialogue autour du développement durable. Nous devons anticiper les risques de l'avenir afin de les accompagner vers un modèle économique plus durable ».

Kadidja Sinz note « Il n'est pas judicieux de définir de manière générale les industries qui ne peuvent pas souscrire d'assurance parce qu'elles polluent l'environnement. Après tout, bon nombre de ces entreprises font de gros efforts pour transformer leurs activités en modèles plus respectueux de l'environnement ».

Pour LSM, soutenir les entreprises qui réalisent ces efforts fait partie intégrante de sa mission consistant à contribuer à la création d'une économie plus résiliente en Europe. « Nous remplissons cette mission grâce à une vision complète des risques inhérents à la transition énergétique, qui naît d'un dialogue constant et d'un partage des connaissances entre toutes les parties concernées » explique Kadidja Sinz.

Dans la durée

LSM s'attache à suivre l’entreprise dans l’ensemble de son cycle de vie et s'engage à répondre aux besoins non seulement des grandes entreprises, mais aussi des petites et moyennes entités qui constituent une grande partie de l'économie européenne.

« Les dirigeants de petites entreprises ont également besoin de dormir la nuit », observe Kadidja Sinz. Le marché de l'assurance a un rôle à jouer dans de nombreuses transformations majeures qui marquent la vie d'une entreprise. Si un groupe familial décide de faire une offre publique de vente d'actions, une couverture pour atténuer les risques du processus sera alors nécessaire. Lorsqu'une entreprise cherche à se développer en dehors de son marché national, l'assurance-crédit ou l'assurance contre les risques politiques lui apportera la sérénité nécessaire pour réaliser des investissements. Si elle envisage d'acquérir un concurrent ou de fusionner avec ce dernier, la couverture garanties et sûretés peut assurer le succès de l'opération.

Kadidja Sinz précise « Une entreprise peut être sûre que LSM sera à ses côtés dans ces situations et dans d'autres qu'elle rencontrera en cours de route. LSM a déjà largement prouvé qu'elle sera toujours présente pour ses clients ».

LSM fait partie du groupe Liberty Mutual, fondé en 1912 à Boston, qui opère aujourd'hui dans 29 pays. Il s'agit du huitième assureur IARD au monde, employant plus de 45 000 personnes et disposant de plus de 162 milliards de dollars d'actifs à la fin de l'année 2023.

« Nous sommes présents sur le marché depuis plus de 100 ans et nous continuerons à accompagner nos clients aussi longtemps qu'ils le souhaiteront », déclare Kadidja Sinz. « Nos relations les plus précieuses sont celles que nous entretenons à long terme. Certaines entreprises aux États-Unis travaillent avec notre groupe depuis plus de 50 ans ».

Liberty Mutual suit le modèle de l'assurance mutuelle qui, selon García Larriu, offre des avantages significatifs à ses clients. N'étant pas contrainte de réagir immédiatement à l'humeur des marchés financiers ou des actionnaires, une assurance mutuelle peut prendre des engagements à long terme qui dépassent les cycles du marché.

« Lorsque le marché est devenu difficile il y a quelques années, de nombreux assureurs ont réduit leur capacité sur le marché européen », dit García Larriu. « Ce n'est pas ce que nous faisons. Que le marché soit difficile ou non, LSM est toujours là, avec ses capacités et son appétance au risque ».

Cyber-risques et autres risques

Il en va de même pour des segments tels que les cyber-risques. Aujourd'hui, le marché de la cyber-assurance dispose d'une grande capacité, mais la souscription est encore très limitée et de nouveaux risques apparaissent sans cesse, ce qui rend les assureurs réticents à travailler avec certains clients. Selon García Larriu, il s'agit, une fois de plus, de s'adresser aux entreprises désireuses de se protéger contre les menaces qu'elles peuvent rencontrer dans l'économie numérique.

« Il faut savoir en quoi consiste le risque de chaque client, et c'est également une question que nous abordons avec les entreprises et les courtiers pour répondre à des besoins qui vont au-delà des cyber-polices traditionnelles », explique-t-il.

En ce qui concerne ces risques, voire même d’autres, García Larriu indique que l'un des grands paris de la compagnie en Europe est de développer ses activités dans ce que l'on appelle les solutions de portefeuilles, grâce auxquelles LSM offre une capacité d'assurance à des tiers tels que des agences (MGA) et des courtiers, ce qui permet à davantage de clients d'accéder à notre offre de produits spécialisés. L'entreprise a ainsi accès à un public plus large et peut travailler avec différents marchés sur le continent.

Une autre priorité est l'introduction de technologies d'intelligence artificielle dans le but d'accroître encore l'efficacité des processus internes et externes. Au nom de ses clients, LSM souhaite également participer davantage aux activités mondiales des entreprises européennes.

« Nous voulons fournir des services de plus en plus complets pour les programmes internationaux, où que nos clients choisissent d'investir dans le monde », ajoute García Larriu.

Engagement pour l'Europe

LSM possède plus de 50 bureaux dans le monde, avec une présence sur des marchés clés tels que les États-Unis, le Moyen-Orient, l'Asie-Pacifique et l'Amérique latine. La société a clôturé l'année 2023 avec 4,9 milliards d'euros de primes d'assurance dans des segments allant des ressources financières, à l'assurance dans les secteurs de l'énergie, de la construction et maritime, en passant par la responsabilité professionnelle, les risques de guerre et de terrorisme et la responsabilité environnementale.

L'entreprise se concentre sur la poursuite de sa croissance sur le marché européen. Basée au Luxembourg, LSM Europe dispose d'équipes en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas, en Suisse, en Irlande, en France et en Espagne, ainsi que d'une forte présence sur le marché londonien. Elle ouvre actuellement des bureaux en Belgique et en Norvège dans le cadre d'un plan d'investissement ambitieux à l'horizon 2030 sur le continent.

Cette dynamique sur le marché européen vise à continuer à accompagner les entreprises pendant de nombreuses décennies, où qu'elles opèrent dans le monde.